vendredi 12 août 2011

Après la défaite de Lille, les Austro-prussiens se préparent de nouveau à affronter l’Empereur.
L’aide de Camp de l’Empereur alias « Le Normand » prend la tête du Camp Français. Quand à moi, les austro-prussiens commandé par L’Archiduc Charles d’Autriche.
Sortie des Troupes 28mm avec environ 300 points de Budget par camp.


Les troupes françaises sont en marche : infanterie de la ligne, infanterie légère, carabiniers à cheval, cuirassiers & un train d’artillerie de la ligne avec une pièce de 8 Livres.
Petit Bonus : Les 1ères Figurines Victrix sont sur le champ de Bataille !!!
Les troupes coalisées sont constituées de 2 bataillons d’infanterie de ligne, 1 bataillon de grenadier autrichien ainsi que 3 batteries de 8 Livres. Du côté prussien, 1 bataillon de Landwehr & 1 bataillon de la garde.


1er Tour : les batteries autrichiennes prennent place sur la colline sous un brouillard épais.L’aile droite composée des grenadiers autrichiens et de la garde Prussienne avance en coordination. Les 2 bataillons d’infanterie de ligne autrichienne de l’aile gauche prennent la route prudemment... La Landwher suit tout comme l’Etat Major de l’Archiduc Charles.


Les troupes françaises avancent en colonne.


les Cuirassiers & Carabiniers avancent au galop.

2ième Tour : le brouillard est toujours présent mais se dissipe peu à peu…
Aile gauche : L’infanterie de ligne autrichienne aperçoit enfin les mouvements français ! De la cavalerie Française ! Formons le carré à 2 bataillons pour amortir le choc d’une possible charge. La Landwher forme la ligne près du carré autrichien pour accroitre la ligne de défense. Non loin de là, l’Archiduc Charles scrute son aile gauche et prend confiance dans sa stratégie.
Centre : L’artillerie suppose l’avancée des colonnes française et envoi toutes ces salves, mais les obus ont l’air de se perdre dans le champ de bataille ? L’archiduc apprend cette nouvelle qui le laisse perplexe sur l’efficacité de son artillerie…
Aile gauche : Les grenadiers autrichiens et la garde Prussienne forme une ligne compacte. L’archiduc reste fier de ses ailes…
Sorti des champs, un bataillon de voltigeur se place en tirailleur et ouvre le feu sur le double carré autrichien qui perd plus de la moitié de son effectif mettant le chaos dans les rangs, mais le carré tient bon avec un bataillon…
La cavalerie de Carabiniers avance à proximité du Carré autrichien affaibli pensant conquérir le terrain, mais celle-ci subit son feu roulant suivi de celui de la ligne Landwher. Les pertes sont très lourdes, la cavalerie s’en trouve décimée et les quelques cavaliers agars ne sont désormais plus une menace…







3ième Tour : Le beau temps est revenu. Des Tirs de part & d’autres ont lieu. L’artillerie autrichienne donne de la voix, mais rien n’y fait. Il se dit dans les rangs que la qualité de la poudre autrichienne n’est pas bonne !!!
L’aile gauche austro-prussienne subit quelques pertes dû aux tirs des Voltigeurs, mais réplique vaillamment en déciment la plus de la moitié de ce bataillon français trop présomptueux !


4ième Tour & 5ième Tour: le brouillard revient et les présages sont guères optimistes pour la coalition…
Les batteries autrichiennes enlèvent quelques troupes d’un bataillon de la ligne française qui se rapproche. Les colonnes françaises déboulent à une telle vitesse qu’elles forment une ligne de front impressionnante, puis envoie dans la foulée un feu dévastateur sur la Garde Prusienne qui s’en trouve anéantie. Les grenadiers reculent tout en subissant de plein fouet le feu français. L’Archiduc apprend la triste nouvelle que son aile droite est brisée.



AILE DROITE AUSTRO-PRUSIENNE




AILE GAUCHE AUSTRO-PRUSIENNE






« Le tout pour le tout »
L’Archiduc décide de former une ligne avec les troupes de son aile gauche et avance sur le bataillon de voltigeurs pour le faire taire. Mais ces voltigeurs ayant adopté la formation de tirailleurs bougent trop rapidement sur le terrain ce qui ne donne pas le résultat escompté. Les Voltigeurs tiennent leur position, mais comment font-ils ?
Contre toute attente, la Vieille garde entre en jeu et fait feu sur la ligne autrichienne qui se fait anéantir.
L’artillerie autrichienne donne ces derniers coups de canon au jugé. Les résultats doivent être de 3, puis 4, puis 5 pour toucher un bataillon qui se rapproche dangereusement, mais les jets donnent 2, puis 3, puis 4…Hic ! Une fois encore les artilleurs de la ligne ont mal jugé à cause de ce maudit brouillard ! Les boulets frôlent le bataillon français à leur plus grand désespoir mais… le pire est à venir…










6ième Tour:
Mais où sont passés les cuirassiers français ? Ils arrivent par l’arrière sur les batteries autrichiennes et les anéantissent…Des artilleurs sautent de la falaise pour éviter les coups de sabre…
Sous une pluie battante, l’Archiduc Charles apprend que son centre est perdu. Il ordonne un dernier tir sur les voltigeurs mais rien n’y fait et décide de se retirer une nouvelle fois, vaincu par l’Empereur…Il s’exclama « Bonaparte, saches que l’Autriche est grande et que la coalition s’étoffera par la venue des troupes de la grande Russie ! »

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